[RP] Journal de bord d'un pélerinage [RP]

Voilà quelques jours que je suis revenu de mon pélerinage.

Voici le récit de mes aventures. Soyez indulgent je commence tout juste à faire du RP et je ne sais pas trop écrire alors voilà ce que ça donne.

LE DEPART

Il est deux heures du matin, sur la planète GHJUTIZIA (Justice).

Une pluie fine et pénétrante s'abat sur la ville PALESTINIANOPOLIS, capitale de cette colonie.

La Taverne dans laquelle je me trouve est une des plus fréquentées de la planète car juste à côté de l'astroport. elle est ouverte en continue, le service ne s'arrête jamais, toutes les races se cotoient, échangent. Des transporteurs trouvent des marchandises à transporter à l'autre bout de l'univers. Des pilotes trouvent de quoi se divertir que en buvant ou en s'amusant avec quelqu'hôtesse.

J'aime aussi venir dans cette taverne car le propriétaire est un ami et la taverne possède outre la salle principale animée par trois groupes de musiques, 40 danseuses, il éxiste des salons privés, insonorisés avec une animation plus intime (si on le désire).

J'ai personnelement un salon réservé dans cette taverne. Décoré avec soin mais sobriété, il bénéficie toutefois de tout le confort moderne.

Ce soir une de mes plus proches amis se trouve avec moi, Amiral Jhonson. J'ai décidé de lui anoncer une décision importante me concernant.

Je lui annonce que je vais faire une retraite spirituelle, précédée d'un long périple qui sera un pélerinage.

Cette retraite se fait sur ABRAXAR, une planète que j'ai volontairement choisi hostile et qui abrite un des lieux les plus saint de ma religion. Cette planète, en marge de la galaxie, a cette spécificité que seul les pôles sont accessibles en vaisseaux et ont un lien avec els autres mondes le reste de la planète étant recouvert d'un champ électromagnétique empêchant toute utilisation de matériel électrique.

Jhonson n'est pas enchanté de ne plus pouvoir converser avec moi pendant un temps si long. On continua à boire en compagnie de quelques hôtesses. Vers quatre heures du matin je laisse mon ami, avec regret, en compagnie de trois hôtesses, obliger de préparer ce long voyage qui débute le lendemain.

Je suis à l'astroport de PALESTINIANOPOLIS, je prends ma navette et me dirige vers le pôle nord d'ABRAXAR, sur la station PEEDOO.

C'est là que commence mon périple....

A SUIVRE....

ABRAXAR

ABRAXAR, vu de l'espace ressemble à un globe de sable. Cette planète ne possede aucune étendue d'eau à sa surface, juste de gigantesque nappes fréatiques qui permettent aux personnes qui connaissent les puits salvateurs de survivre sur cette terre hostile.

La Station polaire PEEDOO est entourée d'un bouclier protecteur opaque qui protège la station des terribles tempètes de sables qui sévissent sur la planète.

Les astroports, situés tout autour de la station en dehors des boucliers, permettent aux vaisseaux d'atterrir dans les hangars où passagers et marchandises sont acheminés vers la station par des navettes sous-terraines.

Les navettes arrivent dans des bâtiments qui abritent les services de police et de douanesqui contrôlent toute arrivée et départ de marchandise ou de personnes.

Voyageant incognito, je subi le même contrôle que n'importe qui.

Une foule impressionnante vient sur cette planète malgré son sol hostile mais la plupart restent dans les stations polaires pour acheter les pierres précieuses issue de mines exploitées dans les sous sols d'ABRAXAR au niveai de l'équateur. Les Pierres sont d'autant plus précieuses qu'elles ne se trouvent que sur ABRAXAR et sont un composant essentiel pour la construction des canons à Plasma, coomposante essentielle des défenses ogamiennes.

Donc ce sont essentiellement des marchands qui viennent ici.

Sorti du poste de contrôle, je découvre le bâtiment principal qui est en fait une immense pyramide dont la base à al superficie de plusieurs centaines de terrains de ballfoot. Sa hauteur proportionnelle à sa base fait que nous ne pouvons voir son sommet, on a l'impression qu'elle se perd dans le bouclier de protection.
Les niveaux inférieurs sont réservés aux échanges de marchandises et au commerce. Un peu plus haut se trouvent les divertissements que l'on peut trouver un peu partout ; salles de jeux, tavernes, bordels, salles de spectacles...

Au millieu de la pyramide se trouvent les logements des marchands et pilotes qui veulent se reposer avant de repartir.
Les étages supérieurs sont réservés aux notables des alliances de la triade.

Les 200 derniers étages sont réservés à l'Empereur, comme dans toute station de l'empire 1% de la superficie est réservée à l'usage exclusif de l'empereur même s'il n'y viendra jamais.

Je prends donc un des taxi-navette pour rejoindre un quai commercial d'où part des caravanes pour les parties de la planète impossible d'accès aux vaisseaux.

J'ai du mal à trouver une caravane prenant des passagers pour aller à l'endroit but de mon voyage.

Pour voyager à travers les terres arides, les gens d'ABRAXAR utilisent des animaux très robustes apelés BLUTOR, ils peuvent marcher des semaines entières, jours et nuits, sans boire et sans repos aucun. Les BLUTORS possedent de largent pattes, pour ne pas s'enfoncer dans le sable, deux grosses cornes sur le museau et muni d'une épaisse carapace.

C'est ainsi que la caravane, au petit matin, part pour MARILLON, le port d'où je partirai pour ma destination finale.

A SUIVRE...

[Méssage hor RP]

Trés bon RP LVP

LA LONGUE MARCHE

Me voilà parti sur un Blutor pour MARILLON. La caravane est constitué de plusieurs dizaines de Blutors sous le commandemant de Nyvatine, une femme, composée de marchands essentielements.

Devant moi se trouve un vieil homme, longue barbe blanche, 1m90, 90 kilos environs, toujours coiffé d'un chapeau en forme de cône et vêtu d'un accoutrement bizarre, un espèce de Kimono avec des plaques de protection. On voit une natte noire sortir de son chapeau, on n'arrive aps à bien dicerné ses yeux et son regard ce qui lui confère un air mystérieux.

C'est avec cet homme bizarre que je sympathise la première semaine de voyage.

Au bout de 10 jours de voyage la caravane subi l'attaque d'une meute d'animaux féroces ayant des dents acérées et aussi grandes que des sabres. Cette meute impressionnante effraie ma monture qui s'emballe à travers un dédal de canyons, le vieil homme me suit pour arrêter l'emballement de mon blutor. Après plus d'une demi heure d'effor on réussi enfin à arrêter l'animal juste avant un précipice.

Un Bonheur ne vient jamais sans un Malheur : on est perdu.

On a parcouru plusieurs kilomètres à travers un dédale de canyons et plus rien ne nous permet de retrouver le chemin de la caravane.

On fait l'état de nos vivres : deux semaines de vivres et d'eau, le temps qu'il nous reste normalement pour arriver au port de Marillon mais maintenant que nous sommes perdu qui sait combien de temps il nous reste de temps de trajet. Si on arrive un jour à destination...

Nous voilà perdu sur une planète inconnu.

On s'organise et on rationne la nourriture et surtout l'eau denrée très rare voir introuvable sur cette planète.

Celà fait deux semaines que nous errons dans le desert nos ressources diminuent jour après jour mais grâce à nos resttrictions on devrait tenir encore au moins six semaines.

Durant cette longue période d'errance, j'apprend à mieux connaitre mon compagnon, HEPHAÏSTOS. On sait tout l'un de l'autre. Il se trouve que sur la plupart des choses on s'accorde à merveilles.

Au fil des épreuvres, défenses contre les bêtes féroces, lutte contre la faim et la soif, l'amitié très récente entre nous se renforce au point que l'on peut donner sa vie l'un pour l'autre. Cette amitié dans d'autres circonstances aurait pu ne pas exister avec cette force.

Six semaines plus tard...

On a épuisé nos réserve de nourriture, il nous reste tout au plus une semaine de réserve d'eau.
La chaleur est insoutenable, les tempratures frolent les 50°C à l'ombre. les déplacement se font de nuit. La journée on essaie de trouver, tant bien que mal, un abri à l'ombre.

Une semaine plus tard...

Ca y est, on a plus d'eau. Les bêtes sont mortes il y a bien longtemps, malgré notre optimisme permanent, le moral flenche. Sans eau ni nourriture, il y a peu de chance, voir aucune, que l'on survive longtemps.
Mon ami HEPHAÏSTOS a ses forces qui le quittent de plus en plus, nous n'avons plus que la peau sur les os. Nos dents se déchaussent.

Celà fait trois jours que nous n'avons plus rien. Mon ami n'est plus que l'ombre de lui-même, je souffre physiquement mais aussi mentalement voyant mon ami souffrir ainsi et dépérir.

Aujourd'hui, lors de mon réveil, je prépare notre départ pour la nuit. Je vais pour révieller mon ami mais ce dernier ne se réveille pas et ne se réveillera plus jamais. Une douleur immense me submerge, j'ai l'impression de perdre une partie de mon coeur, de mon corps. C'est ami a qui j'ai tout dit comme si c'était moi. Je n'ai plus assez d'eau dans mon corps pour pleurer mais mon coeur pleur de toute ses forces.

Je rassemble mes dernières forces pour recouvrir de pierre le corps d'HEPHAÏSTOS, mon ami, mon frère, pour qu'il ne soit pas manger par les bêtes sauvages et lui donner une sépulture digne. Que les dieux le protègent et le guident dans l'autre monde.

Je décide alors de partir essayer de trouver MARILLON, le port, étape de ce pélerinage, afin de tenir la promesse faite à HEPHAÏSTOS d'arriver à destination.

J'avance, j'avance, ma vue se trouble, je lutte contre la mort qui me gagne, le soleil m'éblouie. Mes yeux se ferment, je tombe...

A SUIVRE...

EN VIE

Mes yeux s'ouvrent doucement , ma bouche est pateuse, l'air est étrangement frais. Je suis sur un matelas. Une famme à mes côtés.

Après quelques instants d'adptation, je réussi a analyser ce qui m'entoure. La jeune femme qui était à mon chevet est maintenant accompagnée d'un homme plus agé.

Je suis dans une chambre assez simple avec le stricte minimumde confort.

L'homme m'explique qu'ils m'ont trouvé une semaine plus tôt inconscient dans le désert. Ils m'ont secouru amené jusqu'à leur maison à MARILLON et soigné jusqu'à mon réveil.
Je veux me lever mais je n'en ai pas encore la force.

Le vieil homme me dit que la jeune femme à mon chevet est sa fille aînée, CELESTE.

Je reste encore alité durant deux semaines, CELESTE s'occupant de moi tout au long de ma convalescence. On discute à longueur de journée, on parle littérature, croyance...

En remerciement de m'avoir sauvé je décide d'aider mes hôtes dans leurs activités journalières pour commencer. Puis au bout d'un certain temps je les aide dans leur élevage de Chetruaux, un étrange animal endémique de la planète servant à nourrir les habitant du port de MARILLON

Après deux mois passés dans cette famille d'éleveur, je décide de continuer mon périple et prendre une embarcation vers ma destination finale.

Avant de quitter ses nouveaux amis le cœur serré, le père de céleste me donne le sabre d'HEPHAÏSTOS, que j'avais gardé en souvenir de mon ami disparu. HEPHAÏSTOS l'avait forgé lui-même avec des matériaux très rares et il m'a dit que cette épée avait des propriétés spéciales et que je devais la garder s'il lui arrivait quelque chose pour qu'il continu à vivre à travers elle.

Je croyait l'avoir perdu lors de ma traverser du désert mais ISMAËL, le père de CELESTE, l'avait récupéré et entreposé dans un endroit pour me la donner lors de mon départ, ISMAËL étant contre tout usage d'arme, étant contre toute forme de violence gratuite qui n'est pas justifié par la nécessité de manger. Attitude que je respecte mais à laquelle je n'adhère pas.

Me Voilà donc sur le port de MARILLON, je trouve enfin un bateau qui peut m'emmener jusqu'à ma destination finale en échange d'un travail sur ce navire.

Le bateau part sur cette mer de sable, un sable tellement fin qu'avec le champ magnétique de la planète, il réagit comme de l'eau. Le capitaine se nomme ARKAMUS, c'est un chasseur de Rorskal.

Je sens que la traversée ne va pas être triste...

A suivre...

[Méssage hor RP]

La suite la suite la suite ....

Tu veut que je gueule fab ???

PAS DE MESSAGE HORS RP